Les socialistes de Châtenay-Malabry vous donnent rendez-vous à la rentrée en septembre.
Bon été
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Les socialistes de Châtenay-Malabry vous donnent rendez-vous à la rentrée en septembre.
Bon été
Rédigé par Parti Socialiste de Châtenay Malabry le 27/07/2011 à 22:13 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)
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Tout d'abord nous rappelons que les premiers éléments concernant le foyer AFTAM avaient été présentés dans les objectifs 2005 du contrat de ville 2000-2006, lors des conseils municipaux de mars et de juin 2005.
Il était alors précisé au chapitre SITE APPERT/JUSTICE :
« La requalification de ce site … sera engagée par les démolitions des 2 tours de 94 logements et d'un foyer AFTAM regroupant 150 lits.L’un des enjeux est la reconstruction à Châtenay-Malabry d’une résidence sociale de 40 lits.»
En décembre 2006, vous avez présenté le protocole entre la Ville, le Conseil Général des Hauts de Seine, le Syndicat Mixte de Châtenay-Malabry et l'OPDHLM pour la réalisation de l'opération de renouvellement urbain dans le secteur Appert-Justice.
Il y est indiqué:
« les diagnostics sociaux sur le foyer AFTAM : 81 chambres à 1 lit et 24 chambres à 3 lits soit 153 lits. » « Le programme général de l'opération Appert-Justice comprend : la reconstruction d'une résidence sociale en contrepartie de la démolition du foyer AFTAM. »
Aux différentes questions posées en 2005 et 2006 au cours de ces conseils municipaux, vous avez répondu :
« il y a effectivement 153 lits au foyer AFTAM....Nous pouvons donner à ces personnes des studios ou des deux-pièces. Cela leur permettrait de voir de façon légale leur conjoint, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. Dans les foyers de travailleurs migrants, il ne peut y avoir, théoriquement, que le titulaire. Or nous savons pertinemment que cela n'est la réalité et qu'il y a beaucoup de couples. Je souhaite leur donner des conditions de vie décentes. Ce sont donc 50 logements, et non 50 lits, qui seront reconstruits à Chatenay-Malabry, et la totalité des habitants seront relogés, s'ils le souhaitent. Voilà qui est clair! »
Or ce qui était clair en décembre 2006, ne l'est plus du tout maintenant en 2011, à 8 mois de la démolition programmée du foyer ADOMA.
En effet, le 6 mai 2011, les habitants du foyer ont assisté à une réunion en présence de Monsieur Thierry Olive de la Mairie de Châtenay-Malabry et de Madame Anne-Sophie Mouillé de la direction départementale de l'ADOMA.
Ainsi, selon le Collectif pour l'Avenir des Foyers (le COPAF) qui était présent à cette réunion, il y a été refusé la reconstruction ailleurs dans la ville d'une résidence sociale qui aurait accueilli l'ensemble des habitants.Nous demandons alors expressément ce qu'il en ait de cette reconstruction, annoncée dès mars 2005 et régulièrement depuis, en mars 2007 : dans le Protocole d'accord CAHB et Conseil Général du 13 mars 2007, page 10 (Traitement du foyer de travailleurs migrants (AFTAM) situé au 404, avenue de la Division Leclerc à Châtenay-Malabry) :
« Un projet de restructuration urbaine concernant ce foyer doit être engagé. Un avenant au présent protocole précisera les modalités matérielles ainsi que les moyens financiers complémentaires nécessaires à la reconstruction d’une résidence sociale de 50 logements. »
Puis lors du débat d'orientation budgétaire en 2010 où le lieu de reconstruction s'est déplacé de l'avenue de la Division Leclerc à l' Avenue Jean Jaurès, mais sans que le principe de cette reconstruction soit remis en cause.
Devant l'urgence à 8 mois de la destruction, vous devez répondre clairement aujourd'hui : y aurat-il, oui ou non, reconstruction d'une résidence sociale à Châtenay-Malabry en remplacement du foyer ADOMA démoli?
Nous attirons également l'attention sur les engagements que vous avez pris depuis 2005 devant ce conseil municipal pour que dans cette nouvelle résidence sociale, soient relogés tous les habitants du foyer qui le souhaitent.
Aujourd'hui, les habitants du foyer peuvent avoir des demandes différentes:
D'une part, les anciens travailleurs venus dans les années 60 et ayant passé plus de 30 ans de leur vie à Châtenay-Malabry et qui continuent à faire des aller-retour avec leur famille restée dans leur pays d'origine, ils sont environ une cinquantaine dans les fichiers du foyer et aspirent tous à garder un logement en foyer à Châtenay-Malabry, car c'est là qu'ils ont passé leur vie et même s'ils ne sont pas toujours présents tout au long de l'année, ils gardent le bénéfice d'une chambre dans ce foyer. Au nom de ce que nous devons à ces travailleurs utilisés pendant des années pour leur force de travail au mépris de leur vie familiale, il est impératif de faire un recensement exhaustif de ces personnes. Il est à rappeler que cela va avec le fonctionnement habituel d'unfoyer de travailleurs : un certain nombre de chambres sont gardées pour les retours d'anciens habitants, ici dans le foyer de Châtenay-Malabry, il s'agit d'une chambre par bâtiment et par étage comme indiqué sur le règlement AFTAM.
Sachez qu'il s'agit en particulier de la dizaine de personnes que vous montriez du doigt le 11février 2010, par ces mots:
« il existe une dizaine de personnes qui ont été logées à cet endroit par le gestionnaire, après la signature de la convention prévoyant ce relogement et, ainsi que je l’ai dit, ces 10 personnes seront relogés directement par le gestionnaire dans d’autres foyers de travailleurs migrants qui existent. Ils ne sont pas châtenaisiens, ils ne sont arrivés qu’il y a à peine 6 mois. A cette époque, après avoir signé la convention le gestionnaire savait qu’il ne devait pas reloger. Ces 10 personnes iront dans d’autres foyers qui se trouvent dans la région. Je me suis engagé à reloger ceux qui sont châtenaisiens depuis longtemps... »
Et bien la plupart de ces personnes sont châtenaisiennes depuis plus de 30 ans et doivent aussi faire partie des relogements.
Il en résulte donc qu'une cinquantaine de personnes demandent un relogement en foyer à Châtenay-Malabry, ce qui tombe bien puisque c'est la capacité de la nouvelle résidence sociale que vous vous êtes engagé à reconstruire dès 2005.
D'autre part, en plus de ces travailleurs retraités, sont hébergés au foyer des travailleurs actifs, il reste habiter au foyer environ 30 personnes et pour 4 d'entre eux, avec leur famille.
Ils souhaitent retrouver un logement à Châtenay-Malabry et ont fait une demande à la mairie. Pour eux encore, vous vous étiez engagé à mettre en place une « MOUS pour reloger ces personnes au cas par cas, ...l'enquête sociale a été menée, ceux qui souhaitent rester sur Châtenay-Malabry seront relogés à Châtenay-Malabry » (Conseil municipal du 30 juin 2005)
En pratique, la mise en place d'une Mous et d'une charte de relogement font partie d'une opération de renouvellement urbain bien menée, plus de 70 ont déjà été mise en place en France,proposant en moyenne 3 offres de relogement.
Or pour les habitants du foyer ADOMA, on leur précise leur de la réunion avec Monsieur Olive en mai 2011, qu'une seule proposition de relogement leur est adressée et qu'en cas de refus de cette seule proposition de relogement, cela sera considéré comme la résiliation du contrat de résidence. Et qu'en conséquence, la personne devra se débrouiller seule pour trouver un logement, la mairie n'ayant plus aucun engagement.
Ces dernières conditions sont aussi inacceptables que les précédentes. En conséquence, nous vous demandons donc de revoir les procédures d'accompagnement social des tous ces travailleurs habitant le foyer et châtenaisiens, pour que leur relogement soit effectué dignement, en accord avec les bonnes pratiques des opérations de renouvellement urbain et selon vos engagements depuis 2005,
à savoir :
1) construire une résidence sociale à Châtenay-Malabry pour loger les habitants du foyer qui veulent conserver ce type d'hébergement, soit environ 50 personnes,
2) reloger à Châtenay-Malabry, après 3 propositions acceptables, les 30 personnes environ en attente de logement socialet cela, avant la démolition du foyer ADOMA.
Rédigé par Parti Socialiste de Châtenay Malabry le 26/07/2011 à 23:35 dans Actualité, En direct du Conseil Municipal, Plan Local d'Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0)
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Cette question orale a été posée au Conseil municipal du 30 juin par les deux groupes d'élus minoritaires ("Ensemble pour une ville citoyenne et solidaire" et "TEAM").
"Nous avons été interpellés par les fédérations de parents d’élève de l’école maternelle Pierre Brossolette qui sont très mécontents de l'aggravation constante des conditions d'accueil de leurs enfants et très inquiets pour la rentrée prochaine.
Plusieurs problèmes se posent :
1) En 2010-2011, l'école était déjà trop exiguë pour accueillir tous les enfants inscrits. Vous n'avez pas répondu au courrier que vous ont adressé avant l'été les parents d'élèves concernant la Petite Section et ce sont les institutrices qui ont dû trouver une solution, en transformant en dortoir la bibliothèque de l'école. Quelle solution durable comptez-vous apporter à ce problème ?
2) En moyenne, ce sont 177 enfants qui ont fréquenté chaque jour la cantine de l'école maternelle Brossolette durant l’année scolaire 2010/2011. Or un nombre plus important d’enfants est attendu pour la rentrée prochaine. Vous avez indiqué aux parents d'élèves que vous meniez une réflexion sur un projet d’agrandissement de la cantine, mais rien de tel n’a été présenté à l’occasion du vote du budget. Où en êtes-vous de ce projet ?
3) 240 enfants sont attendus pour la rentrée prochaine. Il est possible qu'une classe supplémentaire soit ouverte par l'Inspection d'Académie. C'est alors la garderie qui sera utilisée pour accueillir les enfants. Cela signifie non seulement qu'il n'y aura plus de salle de garderie dans cette école mais aussi qu'il faudra dédoubler le service des repas et donc, par temps de pluie, garder la moitié des enfants, soit une centaine (!), dans le hall. Comment pouvez-vous proposer une telle solution ?
Comme vous l’indiquez souvent (que ce soit aux parents d’élève ou à nous-mêmes, élus), vous attendez les terrains libérés par le déménagement de l'Ecole Centrale pour régler le problème des écoles surchargées de Châtenay-Malabry. Cette réponse dilatoire n’est pas acceptable : comme vous le savez pertinemment, l’échéance est inconnue et, dans tous les cas, ne résout aucun des problèmes immédiats.
Tous les ans, vous dites travailler sur la carte scolaire avec l’inspection mais rien n’aboutit et vous faites porter la faute à chaque fois sur l’inspection : Est-ce vraiment le cas ? Quand proposerez-vous une nouvelle carte scolaire pour Châtenay-Malabry ?
Quand envisagerez-vous de construire une nouvelle école dans le bas de Châtenay pour accueillir les enfants des familles pour lesquelles vous faites construire sans cesse de nouveaux logements ?
Par ailleurs et plus généralement, concernant le fonctionnement et les moyens attribués par la Mairie, les parents déplorent dans les écoles un manque récurrent de personnel et notamment d’ATSEM, les petits de 3 ans étant obligés bien souvent de se débrouiller seuls aux toilettes.
Les parents d’élèves des écoles de Châtenay indiquent également un manque de moyens matériels et humains en informatique, alors que le B2I (Brevet informatique et internet) est obligatoire depuis plusieurs années : pour exemple, il n'existe à l’école élémentaire Brossolette qu'une seule connexion Internet pour tout l'établissement !
Quand donnerez-vous une vraie priorité aux enfants et aux familles de Châtenay-Malabry ?"
Rédigé par Parti Socialiste de Châtenay Malabry le 14/07/2011 à 13:09 dans En direct du Conseil Municipal | Lien permanent | Commentaires (0)
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A l'occasion du Conseil municipal du 29 juin, Sylvie Delaune, Présidente du groupe est intervenue sur la prescription de la révision du règlement local de publicité :
"Nous serons très attentifs à cette révision du Règlement Local de Publicité et nous estimons que la publicité doit avoir une part plus que modeste dans notre paysage urbain. On nous abreuve à longueur de journée de messages publicitaires : à la télé, à la radio, dans le métro…..l’image que l’on nous renvoie en permanence est celle du parfait consommateur, et je préfère très largement être une citoyenne.
Aussi, l’espace public, les rues notamment, doit le moins possible comporter de publicité.
Je profite de ce point pour rappeler les termes de votre courrier en date du 30 mai qui faisait suite à une question écrite envoyée en mars 2011 concernant les emplacements de l’affichage libre inexistants pour le moment sur la Ville alors même qu’ils sont obligatoires. Vous vous êtes engagés à en faire installer pour la fin de l’année ou le début de l’année prochaine.
Je rappelle les obligations de la ville :
Par ailleurs, la législation précise que le ou les emplacements réservés à l'affichage d'opinion et à la publicité relative aux activités des associations sans but lucratif doivent être disposés de telle sorte que tout point situé en agglomération se trouve à moins d'un kilomètre de l'un au moins d'entre eux.
J’évoque cet affichage libre non pas en l’assimilant à de la publicité, bien au contraire, mais parce qu’il me semble que c’est un espace d’informations citoyennes qui manque cruellement à Châtenay-Malabry qu’il s’agisse d’informations associatives ou qu’il s’agisse d’informations politiques. Nous avons hâte de voir ces panneaux installés et nous vous faisons confiance pour garantir l’accessibilité et la pluralité de ces espaces."
Rédigé par Parti Socialiste de Châtenay Malabry le 08/07/2011 à 23:57 dans En direct du Conseil Municipal | Lien permanent | Commentaires (0)
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Chaque année au Conseil Municipal, est présenté le bilan de l'association organisatrice du Village de Noël. Nous émettons à chaque fois nos réserves quant à certains aspects de cette fête. Vous les retrouverez partiellement dans l'intervention faite au dernier Conseil municipal du 29 juin :
Le compte-rendu financier appelle de notre part plusieurs remarques :
- Les frais de communication nous semblent particulièrement importants (18300 €) alors que c’est une fête connue maintenant par l’ensemble des châtenaisiens. On peut penser que la seule information sur la date de la manifestation dans les nouvelles de Châtenay-Malabry suffirait à informer nos concitoyens. En outre nous voyons que 10 620 € sont dépensés pour une «commission agence de communication pour organisation, coordination et suivi », en quoi consiste cette prestation ?
- Nous ne contestons pas que les enfants s’amusent lors de cette fête, cependant nous remarquons également que la piste de luge (dont le canon à neige) coûte près de 38 025 €, ce qui est important. Nous nous interrogeons sur la cohérence de ce type de prestation avec les exigences de l’agenda 21 de la ville. D’autres villes ont pu mettre en place des pistes synthétiques procurant la même sensation de glisse, ne devrions-nous pas étudier ces possibilités ?
Enfin, nous réitérons notre remarque concernant l’absence d’associations porteuses de valeurs humanistes, de solidarité et de partage, des associations qui promeuvent le commerce équitable. Encore une fois, les produits vendus ne sont pas à la portée de tous.
Rédigé par Parti Socialiste de Châtenay Malabry le 05/07/2011 à 20:26 dans En direct du Conseil Municipal | Lien permanent | Commentaires (0)
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Tout au long de la semaine vous retrouverez nos différentes interventions, prises de position au cours du Conseil municipal du 30 juin 2011, dernier conseil avant les vacances d'été.
Bonnes vacances à tous.
Sylvie Delaune
Secrétaire de section
Rédigé par Parti Socialiste de Châtenay Malabry le 03/07/2011 à 22:41 dans En direct du Conseil Municipal | Lien permanent | Commentaires (0)
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